L’école publique au Liban plombée par l’afflux des élèves syriens

Jamais rentrée scolaire n’aura été si incertaine. Croulant sous les demandes des réfugiés syriens, boudée par les élèves libanais, incapable de trouver la formule idéale, l’école publique patauge.

 

Le cafouillis. C’est le moins qu’on puisse dire sur la rentrée scolaire du secteur public, alors que l’école privée a déjà atteint sa vitesse de croisière depuis le mois d’octobre. Déterminé à ne pas réitérer l’expérience désastreuse de l’année passée, qui avait poussé les Libanais à bouder l’école publique vu le trop plein d’élèves syriens, le ministre de l’Éducation, Élias Bou Saab, a posé des conditions rédhibitoires à l’accès à l’école publique des petits réfugiés syriens.

Il a d’abord ouvert les inscriptions aux élèves libanais ou de mère libanaise, aux sans-papiers et aux étrangers détenteurs d’un permis de séjour, et invité ces enfants à rejoindre les bancs de l’école, le 22 septembre. Il a ensuite exigé des enfants syriens la présentation de papiers d’identification et la justification d’une scolarisation de trois ans au Liban, pour être admis dans l’enseignement classique délivré le matin aux côtés des petits Libanais. Autrement, ils seraient invités à suivre les classes de l’après-midi (second shift) qui leur seront exclusivement consacrées. Il a formellement interdit aux établissements d’intégrer dans les classes un nombre d’élèves syriens supérieur à celui des Libanais. Une dernière position qui a été assouplie, mi-novembre, dans certaines régions et certaines écoles. Il a enfin autorisé l’admission des petits Syriens dans les classes maternelles à la condition qu’ils assument la totalité des frais. Pour ce faire, M. Bou Saab a publié trois circulaires consécutives, suivies d’une décision.

 

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http://www.lorientlejour.com/article/898710/l-ecole-publique-plombee-par-lafflux-des-eleves-syriens.html

 

L’école publique plombée par l’afflux des élèves syriens

 

 

Violence contre la femme en Syrie: la Suisse n’en a rien à faire

Communiqué de presse de FemmeS pour la Démocratie

24 novembre 2014

A l’occasion de la journée internationale de l’ONU pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes une conférence spéciale intitulée « violence contre la femme en Syrie aujourd’hui » a été organisée à l’ONU pour le 25 novembre à 10h00 du matin. Les intervenants prévus sont Noura AL-AMEER, vice-présidente de la coalition nationale syrienne et responsable du dossier des droits humains, Tarek KURDI juriste syrien en droit international et trois anciennes détenues : Alaa AL-HOMSI, Kinda ZAOUR et Eman AL-KURDI. La conférence dénonce les violences que subit la femme syrienne de la part du régime Assad et de l’Etat Islamique (Daesh).

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https://femmesdemoc.wordpress.com/2014/11/24/violence-contre-la-femme-en-syrie-la-suisse-nen-a-rien-a-faire/

Certains réfugiés syriens au Liban vendent leurs organes pour survivre

« La misère  des  réfugiés  syriens  au  Liban les  conduit  au pire »

Dans le bidonville de Hay El Gharbey, au sud de Beyrouth, certains réfugiés syriens vendent leurs organes pour survivre. Un phénomène qui illustre surtout l’extrême pauvreté dans laquelle sont plongés des centaines de milliers de réfugiés syriens au Liban.

 

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http://www.franceinter.fr/emission-le-zoom-de-la-redaction-la-misere-des-refugies-syriens-au-liban-les-conduit-au-pire

Photo : Le camp de Chatila dans le sud de Beyrouth

© Radio France/Omar Ouhamane – 2014

La misère  des  réfugiés  syriens  au  Liban les  conduit  au pire

 

Liban : les portes se ferment pour les Syriens

Le 18 octobre, la sentence tombe : le Liban ferme ses frontières. Les réfugiés ne seront plus acceptés et ceux qui choisissent de rentrer en Syrie seront rayés de la liste des inscrits auprès du UNHCR (l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés). Quelques exceptions pourront déroger à la règle dans certains cas laissés à l’appréciation du Ministère des Affaires sociales et du Ministère de l’Intérieur. 

 

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Photo: Un père et ses fils dans dans un campement informel de réfugiés syriens, région de Zahle.  © Cléa Pineau la porte du liban se ferme aux syriens

Syrie : la «fabrique» de réfugiés

Avec la crise syrienne, le droit international est durablement bafoué. Les populations civiles ne sont pas protégées, pire encore, elles sont systématiquement prises pour cible. Après trois ans, cette guerre civile affiche un bilan effarant : 170 000 morts, près de 3 millions de réfugiés, 6 millions de déplacés internes (1). Dès janvier 2013, le Programme alimentaire mondial (PAM) et les acteurs de terrain constatent que l’aide humanitaire arrive essentiellement dans les zones contrôlées par l’Etat. L’ensemble des organismes internationaux continuent de respecter assez scrupuleusement les accords qui les lient à l’Etat syrien. Un certain nombre de gouvernements occidentaux continuent de refuser de financer des activités dites de cross-border (transfrontalières), là encore en prétextant le respect de la souveraineté syrienne.

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http://www.liberation.fr/monde/2014/06/26/syrie-la-fabrique-de-refugies_1051355

 

Naufrage en Méditerranée : la thèse d’un acte délibéré des passeurs confirmée

De nouveaux éléments recueillis, mardi 16 septembre, par l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) sont venus confirmer la thèse selon laquelle ce sont bien les passeurs qui ont volontairement embouti le bateau de centaines de migrants avant que celui-ci ne coule.

En plus des témoignages de deux Palestiniens repêchés par un porte-conteneurs, le 12 septembre, l’OIM a pu interroger, mardi, six autres rescapés qui avaient été secourus en même temps mais n’étaient pas conscients lors du sauvetage à cause de l’hypothermie. « Après avoir touché notre bateau, [les passeurs] ont attendu pour être sûrs qu’il coule complètement avant de partir. Ils riaient », a ainsi raconté un survivant à l’OIM, en retraçant les péripéties qui ont conduit au drame.

 

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http://www.lemonde.fr/societe/article/2014/09/16/naufrage-en-mediterranee-la-these-d-un-acte-delibere-des-passeurs-confirmee_4488651_3224.html

 

Photo : © AFP . Lors d’une opération de sauvetage de la marine italienne au large de la Sicile, le 14 septembre.

Naufrage

Syrie. Enfants syriens réfugiés mis au travail en Turquie

D’après le haut-commissaire des Nations Unies pour les réfugiés (UNHCR), sur les 500’000 réfugiés syriens vivant actuellement en Turquie, environ la moitié sont des enfants. Alors que plus de 60% des enfants dans des camps de réfugiés sont inscrits à l’école, 73% de ceux vivant en dehors des camps – soit la très grande majorité des réfugiés – ne suivent pas à l’école. Un récent rapport de l’UNICEF estime qu’un dixième des enfants syriens réfugiés travaille – dans l’agriculture, la restauration et des boutiques, ou en tant que vendeurs ambulants sans même mentionner leur statut de mendiant dans la rue.

 

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http://alencontre.org/moyenorient/syrie/syrie-enfants-syriens-refugies-mis-au-travail-en-turquie.html

 

child worker in Kilis on the Turkish-Syrian border

En Jordanie, les réfugiés syriens manquent d’eau

Comme tous les jours, elles font la queue avec leurs bidons devant les réservoirs installés par Oxfam. Cette fois, la corvée d’eau se fait dans la bonne humeur, au milieu des rires d’enfants, même si ces petites filles ne perdent pas de vue le tuyau qu’elles se passent de main en main, pour assurer les besoins en eau de leurs familles.

 

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http://www.echoplanete.com/actu/sante-et-environnement-actu/en-jordanie-les-refugies-syriens-manquent-deau/

 

les réfugiés syriens manquent d’eau - Jordanie

Première apparition publique de « César », ex-photographe de la police militaire syrienne, au Congrès US

« César », l’ex-photographe anonyme de la police militaire syrienne qui s’est enfui l’été dernier de Syrie en emportant 55.000 photographies effroyables de corps torturés, est apparu pour la première fois jeudi en public, lors d’une audition à la Chambre des représentants américaine.

 

César explique que son travail était de prendre en photo les cadavres pour le ministère syrien de la Défense, avant et après la révolution. Lui et les autres photographes avaient pour responsabilité d’archiver les photos et de les télécharger sur les serveurs de l’Etat syrien. A ce titre, il avait accès aux photos prises par d’autres photographes du régime.

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http://www.lorientlejour.com/article/878674/premiere-apparition-publique-de-cesar-ex-photographe-de-la-police-militaire-syrienne-au-congres-us.html

 

César