Pique-nique hivernal dans une salle
Une rencontre organisée par le « Groupe 2 » des bénévoles de Revivre
le dimanche 24 janvier 2016 ; à Paris
Le début de la rencontre
Pique-nique hivernal dans une salle
Une rencontre organisée par le « Groupe 2 » des bénévoles de Revivre
le dimanche 24 janvier 2016 ; à Paris
Le début de la rencontre
Le pique-nique de Revivre, du 14 juin 2015 au Bois de Vincennes, a rassemblé une trentaine de personnes de tous âges. Dans une ambiance détendue et bon enfant, le partage souhaité s’est installé spontanément et la mayonnaise a pris entre les français et les syriens, dont des réfugiés, sans que les efforts soient nécessaires.
Photos © Alaa Abdelwahab
30 mai 2015 , à Fontenay sous Bois
Le stand de Revivre
Michel Morzière, Président d’Honneur de Revivre, avec les visiteurs
Le public autour de la cuisine syrienne
On fait la queue
Le débat avec Hala Kormani et Isabelle Hausser, animé par Michel Morzière
Signature des deux livres des intervenantes
Isabelle Hausser
Hala Kodmani
L’état de lieu à Palmyre le 30 mai, avec Mohamad Taha, archéologue
et originaire de la ville historique
Le stand après le débat et la signature
Pour les réfugiés syriens, la Bulgarie n’est que l’une des portes d’accès au continent européen. Leurs destinations finales sont autres : les pays riches du nord de l’Europe, et en particulier la Suède et l’Allemagne.
Les Syriens arrêtés par la police en territoire bulgare sont logés dans divers centres d’accueil, en attente d’une réponse à leur demande d’asile. Ils se retrouvent parqués dans une sorte de limbes : ils ont réussi à se mettre à l’abri, mais ils n’ont jamais atteint leur destination. Ils peuvent attendre ici pendant des mois, prisonniers de la bureaucratie et des règlements européens.
Ce reportage vidéo, réalisé en 2014 par Daniela Sala et Emilia Uski Audino, montre leur vie dans les centres d’accueil de Harmanli et de Voenna Rampa.
Sous-titres : cliquez sur “Paramètres” en bas à droite de la vidéo pour choisir la langue des sous-titres.
Vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=nst6-hHVI40
Source : Focus on Syria
http://www.focusonsyria.org/fr/video-prisonniers-deurope-les-jeunes-syriens-bloques-en-bulgarie/
Photo : Un réfugié syrien avec sa fille en Bulgarie – à Voenna Rampa
Si pour vivre il faut espérer et travailler, pour revivre il faut entretenir en permanence l’espoir, la volonté et l’énergie.Ce film-document tisse avec proximité, l’entrelacement des fils de vies d’êtres humains divers ; amis malades et anciens détenus d’opinion de Syrie et plus récemment des réfugiés ayant quitté ce pays avec la volonté d’y retourner. C’est aussi l’histoire de quelques syriens et français qui se sont croisés un jour et ont décidé ensemble de frayer un sentier d’espoir nommé « Revivre ».À sa naissance, l’association « Revivre » espérait devenir un cocon de futurs papillons en accueillant de nombreux détenus d’opinion ; naufragés des geôles du régime syrien sous Hafez al-Assad. La torture sauvage faisait de ces êtres humains des chenilles désespérées.Suite à la Révolution Syrienne de mars 2011, « Revivre » se fait un devoir de multiplier ses fils de soie ; il encadre alors les réfugiés syriens qui fuient une Syrie atrocement incendiée par le même régime, celui de l’héritier du trône, Bachar al-Assad .
Ce film-document met en images la clef de voûte de l’association ; le comité du parrainage, des amis et « correspondants » en Syrie, et parmi une trentaine de dossiers traités, quelques malades anciens détenus d’opinion devenus proches. Il montre également l’accueil et le rôle que tient la permanence pour les réfugiés en Syrie.
Un cerf volant lancé par des enfants de Syrie se perd dans le bleu du ciel pour nous réunir au-delà des terres dans notre recherche de liberté et d’espoir…
Elle est encore longue la route, elle est semée d’obstacles et de mines. Au bout, elle est encore bloquée et, par-delà, c’est l’inconnu. Plus tard, après le siège, après la révolution, après la guerre, il y aura toujours ce rêve unique qui nous unit. C’est comme si, munis de pioches, nous formons une longue chaîne humaine qui avance lentement, qui avance sûrement, vers la fin de la route. Béni soit celui qui y parviendra !
— Razan Zeitouneh (Traduit de l’arabe par Rania Samara)