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SOIRÉE ANNIVERSAIRE des 20 ans

=> Vous n’étiez pas à l’Institut du Monde Arabe le jeudi 24 octobre 2024 ?
Alors, rendez-vous sur la page des 20 ans pour voir un aperçu de cette belle soirée, riche en émotions.
FILM – Revivre, 20 ans après
Réalisation : Mahmoud HAMOUD avec Abdulrazak ALJUMAA et Emilie GLASMAN
Montage : Ahmad MUADDAMANI
Mixage son : Rita MAHMOUD
Traduction : Abdulrazak ALJUMAA
Interviews (dans l’ordre d’apparition) :
- Assem HAMSHO – Photographe et activiste syrien
- Michel DUCLOS – Ancien Ambassadeur de France en Syrie de 2006 à 2009
- Aïcha ARNAOUT – Poétesse et activiste franco-syrienne
- Pascale BRICE – Ancien Directeur de l’OFPRA de 2012 à 2018
- Michel MORZIÈRE – Membre fondateur et président d’honneur de l’Association
Protéger la vie et les droits des enfants dans les pays en guerre
Revivre participe à cette soirée débat-rencontre, et abordera son action en faveur des enfants des écoles du camp de Roukban en Syrie.

Soirée anniversaire des 20 ans de REVIVRE à l’institut du Monde Arabe le jeudi 24 octobre 2024

Cette soirée sera à la fois un moment festif pour les adhérents, invités et personnes qui soutiennent Revivre, et un rappel des objectifs pour lesquels REVIVRE a été créé et continue d’œuvrer.
Un film et deux temps forts (entretien et une table ronde) marqueront cette soirée entrecoupée d’intermèdes musicaux d’artistes syriens.
Une nouvelle victoire contre l’impunité de Bachar Al – Assad
La cour d’appel de Paris a validé, mercredi 26 juin, le mandat d’arrêt émis par des juges français contre le président syrien Bachar al-Assad, accusé de complicité de crimes contre l’humanité pour des attaques chimiques meurtrières au gaz du 5 août à Adra et Douma, et du 21 août 2013 dans la Ghouta orientale, banlieue de Damas, faisant plus de 1 000 morts et des centaines de blessés.
Par cette décision, la chambre de l’instruction a rejeté la requête du Parquet national antiterroriste (Pnat), qui demandait l’annulation du mandat au motif de l’immunité personnelle des présidents en exercice.
Le Pnat considérait que les exceptions à l’immunité personnelle des chefs d’Etat en exercice sont « réservées au seul bénéfice des juridictions internationales », comme la Cour pénale internationale, et non des tribunaux de pays étrangers. La Chambre de l’instruction de Paris en a décidé autrement !
Les quatre mandats d’arrêt pour la planification présumée des attaques chimiques visant Bachar al-Assad, son frère Maher, ainsi que les généraux, Ghassan Abbas et Bassam al-Hassan peuvent ainsi être exécutés.
Cette décision de la justice française arrive peu après la condamnation à la réclusion criminelle à perpétuité le vendredi 24 mai 2024 par la Cour d’assises de Paris de trois membres de l’entourage de Bachar al-Assad : Ali Mamlouk (ex-chef du Bureau de la sécurité nationale), Jamil Hassan (ex-directeur des services de renseignements de l’armée de l’air), et Abdel Salam Mahmoud (ex-directeur de la branche investigation de ces services) accusés de la disparition forcée et de la mort sous la torture de deux franco-syriens.
Non à l’impunité pour les responsables des crimes contre l’humanité et des crimes de guerre. La Justice doit passer !