« Nous, enfants de Syrie » : une exposition solidaire

« Nous, enfants de Syrie » : une exposition solidaire

Exposition: « Nous enfants de Syrie »

Du 3 au 20 décembre 2015
Centre d’animation Reuilly
19, Rue Antoine-Julien Hénard, 75012 Paris, M° Montgallet (ligne 6)

 B Nous les enfants de Syrie Expo

Les enfants syriens ont leur mot à dire sur leur vécu. Fuyant les ravages de la guerre, réfugiés avec quelques membres de leurs familles dans un camp de fortune à Beyrouth, ils le disent avec ce qu’on leur offre : des couleurs, de la pâte à modeler, des fils de fer, des tissus… Des ateliers artistiques, conçus en fonction de leurs besoins spécifiques, les aident à dépasser leurs traumatismes et à appréhender leur nouvel environnement. Au-delà du simple témoignage sur leurs souffrances ou leurs aspirations, leurs créations rendent hommage au travail sur le terrain de personnes engagées dans le soutien, l’éducation et la transmission des valeurs d’entraide, de partage et de solidarité. L’exposition présente les dessins des enfants, leurs peintures murales collectives, leurs marionnettes en tissu, masques, objets recyclés, photographies, etc.
Partie intégrante de l’exposition, le film Nous enfants de Syrie retrace la vie dans le camp, avec les témoignages des enfants et des professeurs…
3 décembre : VERNISSAGE
18h30, le responsable du centre libanais Basmeh & Zeitooneh invité pour l’occasion présentera les œuvres exposées et parlera du travail réalisé avec les enfants réfugiés.
19h, projection film « NOUS, ENFANTS DE SYRIE » autour d’un pot amical et solidaire.
16 décembre : CONCERT
19h30, Cylsée nous entraînera sur les rives sud de la Méditerranée : chant, guitare, violon-alto, percussions.
Cette exposition est une opération solidaire, elle a pour but de soutenir le centre culturel de Besmeh & Zeitooneh à Beyrouth et les ateliers créatifs destinés à sortir les enfants de la misère du camp et de la violence de la rue. Le centre accueille 700 enfants annuellement.

Vous pouvez effectuez vos dons en toute sécurité sur la plateforme associative : Via HELLOASSO

Plus de détails sur l’expo : http://www.syriemdl.net/nous-enfants-de-syrie-une-exposition-solidaire/

Aya Mhanna, psychologue au service des réfugiées syriennes

A 29 ans, Aya Mhanna, psychologue clinicienne et psychothérapeute du Metn, au Liban, parle avec dévouement de son métier. Après des allers retours avec le Canada, c’est au pays du Cèdre qu’elle a choisi d’exercer. Détentrice d’un Master en psychologie clinique et psychopathologie de Paris V, la jeune femme a également une formation de psychothérapie familiale et d’art thérapie. Autant de diplômes qu’elle met aujourd’hui à profit

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http://information.tv5monde.com/terriennes/aya-mhanna-une-psychologue-au-service-des-syriens-14984

Aya Mhanna

Liban. Réfugiés syriens: «non-assistance à personne en danger»

Liban. Réfugiés syriens: «non-assistance à personne en danger»

 

La nouvelle est arrivée par SMS. Un message de sept lignes, froid et mécanique. «Nous sommes au regret de vous informer que le Programme alimentaire mondial n’a pas reçu le financement nécessaire pour recharger votre carte d’alimentation au mois de décembre. Nous vous informerons dès que nous aurons reçu le financement permettant de redémarrer le programme.»

C’était mardi 2 décembre 2014. Dans le camp Oum Mahmoud, une vingtaine de cahutes coincées sur le bord d’une route agricole, dans la vallée de la Bekaa, au centre du Liban, certains réfugiés syriens ont pleuré. D’autres se sont pris la tête entre les mains, pour ne pas qu’elle explose. D’autres encore, illettrés ou accaparés par les soucis, n’ont pas prêté attention à ce petit texte ou n’ont pas réfléchi à ses conséquences. «Je m’en remets à Dieu», soupire Oum Hussein, une mère de sept enfants, le regard hébété, qui balaie le perron de son abri de fortune.

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http://alencontre.org/moyenorient/liban-refugies-syriensnon-assistance-a-personne-en-danger.html

Réfugié·e·s syriens dans la Bekaa (Liban), en décembre 2013. En décembre 2014: avec le froid, mais sans «aide alimentaire»

Réfugiés syriens

 

 

 

L’école publique au Liban plombée par l’afflux des élèves syriens

Jamais rentrée scolaire n’aura été si incertaine. Croulant sous les demandes des réfugiés syriens, boudée par les élèves libanais, incapable de trouver la formule idéale, l’école publique patauge.

 

Le cafouillis. C’est le moins qu’on puisse dire sur la rentrée scolaire du secteur public, alors que l’école privée a déjà atteint sa vitesse de croisière depuis le mois d’octobre. Déterminé à ne pas réitérer l’expérience désastreuse de l’année passée, qui avait poussé les Libanais à bouder l’école publique vu le trop plein d’élèves syriens, le ministre de l’Éducation, Élias Bou Saab, a posé des conditions rédhibitoires à l’accès à l’école publique des petits réfugiés syriens.

Il a d’abord ouvert les inscriptions aux élèves libanais ou de mère libanaise, aux sans-papiers et aux étrangers détenteurs d’un permis de séjour, et invité ces enfants à rejoindre les bancs de l’école, le 22 septembre. Il a ensuite exigé des enfants syriens la présentation de papiers d’identification et la justification d’une scolarisation de trois ans au Liban, pour être admis dans l’enseignement classique délivré le matin aux côtés des petits Libanais. Autrement, ils seraient invités à suivre les classes de l’après-midi (second shift) qui leur seront exclusivement consacrées. Il a formellement interdit aux établissements d’intégrer dans les classes un nombre d’élèves syriens supérieur à celui des Libanais. Une dernière position qui a été assouplie, mi-novembre, dans certaines régions et certaines écoles. Il a enfin autorisé l’admission des petits Syriens dans les classes maternelles à la condition qu’ils assument la totalité des frais. Pour ce faire, M. Bou Saab a publié trois circulaires consécutives, suivies d’une décision.

 

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http://www.lorientlejour.com/article/898710/l-ecole-publique-plombee-par-lafflux-des-eleves-syriens.html

 

L’école publique plombée par l’afflux des élèves syriens

 

 

Certains réfugiés syriens au Liban vendent leurs organes pour survivre

« La misère  des  réfugiés  syriens  au  Liban les  conduit  au pire »

Dans le bidonville de Hay El Gharbey, au sud de Beyrouth, certains réfugiés syriens vendent leurs organes pour survivre. Un phénomène qui illustre surtout l’extrême pauvreté dans laquelle sont plongés des centaines de milliers de réfugiés syriens au Liban.

 

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http://www.franceinter.fr/emission-le-zoom-de-la-redaction-la-misere-des-refugies-syriens-au-liban-les-conduit-au-pire

Photo : Le camp de Chatila dans le sud de Beyrouth

© Radio France/Omar Ouhamane – 2014

La misère  des  réfugiés  syriens  au  Liban les  conduit  au pire

 

Liban : les portes se ferment pour les Syriens

Le 18 octobre, la sentence tombe : le Liban ferme ses frontières. Les réfugiés ne seront plus acceptés et ceux qui choisissent de rentrer en Syrie seront rayés de la liste des inscrits auprès du UNHCR (l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés). Quelques exceptions pourront déroger à la règle dans certains cas laissés à l’appréciation du Ministère des Affaires sociales et du Ministère de l’Intérieur. 

 

Lire la suite… http://www.mena-post.com/2014/10/20/liban-syrie-les-portes-se-ferment-pour-les-refugies/

 

Photo: Un père et ses fils dans dans un campement informel de réfugiés syriens, région de Zahle.  © Cléa Pineau la porte du liban se ferme aux syriens

Syrie : la «fabrique» de réfugiés

Avec la crise syrienne, le droit international est durablement bafoué. Les populations civiles ne sont pas protégées, pire encore, elles sont systématiquement prises pour cible. Après trois ans, cette guerre civile affiche un bilan effarant : 170 000 morts, près de 3 millions de réfugiés, 6 millions de déplacés internes (1). Dès janvier 2013, le Programme alimentaire mondial (PAM) et les acteurs de terrain constatent que l’aide humanitaire arrive essentiellement dans les zones contrôlées par l’Etat. L’ensemble des organismes internationaux continuent de respecter assez scrupuleusement les accords qui les lient à l’Etat syrien. Un certain nombre de gouvernements occidentaux continuent de refuser de financer des activités dites de cross-border (transfrontalières), là encore en prétextant le respect de la souveraineté syrienne.

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http://www.liberation.fr/monde/2014/06/26/syrie-la-fabrique-de-refugies_1051355

 

Les réfugiés syriens vont représenter plus du tiers de la population libanaise

AFP – 3 juillet 2014

« Sur quatre millions d’habitants, 1,5 seront des réfugiés syriens en décembre prochain. Le Liban tire la sonnette d’alarme, alors que l’accueil des réfugiés lui coûte 4,5 milliards de dollars par an. »

« Selon le rapport, 53% de ces réfugiés sont des enfants. »

 

Lire l’intégralité de l’article….

http://www.liberation.fr/monde/2014/07/03/les-refugies-syriens-vont-representer-plus-du-tiers-de-la-population-libanaise_1056683

Photo Anwar Amro – AFP

Une Syrienne marche dans un camp de réfugiés de la ville libanaise de Dalhamiyah, le 30 mai 2014.

Photo Anwar Amro - AFP